Thangka : Tārā verte

Description

Thangka / Tangka est le nom donné à des peintures religieuses bouddhiques du Tibet, Népal, Bhoutan et de Mongolie. Le mot thangka se traduit littéralement comme une « chose que l’on déroule » ou un « rouleau » et désigne une peinture plate que l’on roule, avec des représentations des divinités bouddhistes. Elle est destinée à la concentration et la méditation, plutôt qu’à la simple décoration des temples et d’autres espaces consacrés au culte. Le thangka est l’un des principaux outils de méditation dans le bouddhisme.

Tara Verte (Dröljang ou Döljang en tibétain : སྒྲོལ་ལྗང༌, Wylie : sgrol ljang, contraction de Drölma Jang ; Shyama Tārā en sanskrit ; devanāgarī : तारा) est l’une des 21 formes de Tārā, Bodhisattva féminin de la compassion dans le bouddhisme et divinité protectrice du Tibet. Elle est particulièrement connue pour sa puissance à surmonter les situations les plus difficiles, donnant protection et réconfort contre les dangers. Elle est le bodhisattva féminin de la compassion. De la main droite, elle fait le moudra du don signifiant qu’elle accorde les accomplissements ordinaires et l’accomplissement sublime et de la main gauche elle fait le moudra du refuge : son pouce et son annulaire se touchent pour symboliser l’union des actions et de la connaissance et ses trois autres doigts sont dressés et représentent les trois joyaux : le Bouddha, le dharma et la sangha. Sa position représente « prête à se lever pour aider autrui ». Son emblème est la couleur verte, symbole d’espoir, et le lotus bleu à semi-ouvert.

Lorsque l’on est dans une situation d’urgence et de peur : Tārā verte, célèbre pour sa rapidité et sa générosité, pour l’enseignement